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  “ don't worry, life isn't so bad. ”

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A. Parvati 'Paro' Kapoor

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A. Parvati 'Paro' Kapoor
My life is a fairy tale


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MessageSujet: “ don't worry, life isn't so bad. ”     “ don't worry, life isn't so bad. ”  EmptyMar 24 Déc - 12:37



don't worry, life isn't so bad. •
M. Apollinaire Smirnov &  A. Parvati Kapoor

Elle regarda une deuxième fois à sa montre, impatiente. Elle tapota du doigt sur son bureau, s’adossant un peu mieux à son siège, tout en fixant l’extérieur. Si quelque chose caractériser son patron, c’était la ponctualité. Elle ne pouvait pas quitter sa place en avance, elle devait le quitter à l’heure prévue. À ce rythme, elle allait rater la vente spéciale de la boulangerie. Ce n’était pas tous les jours qu’elle pouvait apporter des pâtisseries à l’orphelinat et en voyant l’affiche de la vente spéciale, elle avait juste eu une illumination. Elle s’était dit qu’à la pause du déjeuner elle irait acheter une vingtaine de cupcakes pour les enfants. Sauf que la vente commençait une quinzaine de minutes avant que la pause soit officielle et qu’elle puisse s’en aller. Elle aurait peut-être dû prévenir Vincent, qui sait ? Il l’aurait peut-être accepté qu’elle parte plus tôt . Et si elle arrêtait de rêver pour pouvoir se préparer à la course de folie qu’elle allait faire ? Elle fouina d’ailleurs dans son sac pour sortir la paire de ballerines qu’elle avait prise pour l’occasion. Elle retira ses escarpins noirs et se sentit déjà plus à l’aise pour courir. Elle aurait dû emporter des baskets, mais son sens de la mode lui interdisait tout fashion faux pas. C’était stupide, à quoi avait-elle pensé ce matin en emportant des ballerines plutôt que des baskets ? Elle jeta un nouveau coup d’œil à sa montre avant de poser ses yeux vers la porte du bureau de Vincent. Il était occupé avec le dernier rendez-vous de la matinée, Madame Grosier. Et Parvati était bloquée à l’accueil attendant que ce rendez-vous se termine pour s’en allait comme une voleuse. Elle pensait tellement à la boulangerie qu’elle ne trouvait pas le courage de trier ce que Vincent lui avait demandé. Elle pouvait le faire plus tard, non ?

Elle entendit alors un bruit. Elle se retourna devant son ordinateur, faisant mine de travailler. Après un échange de politesses et d’informations, la patiente quitta enfin la pièce. C’était donc fini. Parvati jeta un coup d’œil vers le bureau, mais Vincent s’était déjà replié dans sa pièce. Zut ! Elle devait faire quoi ? Le prévenir, partir sans un mot ? Après une légère hésitation, elle attrapa son sac et s’en alla à toute vitesse. Elle manqua de peu de tomber dans les escaliers de l’entrée avant de se retrouver dans la rue. À cette période de l’année, il faisait plutôt froid. Elle se rendit compte qu’elle n’avait pas pris son manteau, ni son écharpe. Et son adorable bonnet qui séchait sur un radiateur… la classe ! Elle sentait déjà l’air glacial lui donner la chair de poule. Elle aurait dû mettre un pull, pas un gilet en laine ridicule. Elle se dit ensuite que de toute façon, en courant, elle allait avoir moins froid. Elle n’avait pas de temps à perdre. Elle s’engouffra dans la rue, courant à toute vitesse, essayant de ne pas perdre son sac. En entrant dans la boulangerie, elle dut faire la queue. Quatre personnes attendaient avant elle. Super. Elle priait qu’ils n’achètent pas tout. L’avantage d’être à l’intérieur quand même, c’était qu’elle pouvait avoir un peu plus chaud. Elle regarda plusieurs fois sa montre, se disant qu’il lui restait environ une heure pour passer à l’orphelinat et manger avant de retourner travailler. Un quart d’heure plus tard, c’était enfin à son tour.

Elle ressortit de la boulangerie le sourire aux lèvres. Elle avait 20 cupcakes, cinq de différentes saveurs. Elle espérait qu’il y en aurait assez pour tout le monde. Se retrouvant dehors, elle se rendit compte à quel point elle allait vraiment finir par tomber malade, mais elle prit sur elle. Elle se dirigea alors vers l’orphelinat, faisant attention. Elle avait encore le temps d’y aller tranquillement, pas besoin de courir. Alors qu’elle voulut traverser la route, une voiture passa devant elle à toute vitesse. Parvati tenta de reculer, se prit le bord du trottoir, tomba sur les fesses alors que son paquet tomba à l’avant. Elle entendit le bruit des pâtisseries s’écrasait au sol et une goutte de pluie tomba sur son nez. Puis toute une averse. Elle leva les yeux aux ciels, regarda son paquet et sentit qu’elle allait hurler. Elle n'avait plus du tout envie de se lever, mais étrangement, la pluie ne tombait plus… ou du moins quelque chose l’empêchait de tomber sur sa tête. Elle regarda au-dessus d’elle pour voir l’intérieur d’un parapluie et soudain, un visage connu.
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M. Apollinaire Smirnov

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M. Apollinaire Smirnov
My life is a fairy tale


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MessageSujet: Re: “ don't worry, life isn't so bad. ”     “ don't worry, life isn't so bad. ”  EmptyMer 25 Déc - 23:57

Apollinaire posa son sac en soupirant alors que la porte se refermait doucement derrière lui. L'odeur chaude émanent de la cuisine le mettait de bonne humeur même s'il avait encore une inquiétude encore profondément ancrée en lui. Sans saluer sa femme, il se précipita dans son bureau, ouvrit le tiroir et constata avec soulagement que la petite boite était toujours à la même place, scellée. Elle n'avait pas bougée. Il soupira encore une fois, de soulagement, et tenta de se détendre en se massant les tempes. Le vol du retour avait été long et les enfants situés dans la rangée adjacente n'avait pas été des plus sages. Il ne rêvait que d'une chose : un bon repas chaud de sa femme, il avait l'impression que c'était tout ce qu'il lui fallait pour aller mieux. Quand il sortit de son bureau, il remarqua que son sac de voyage n'était déjà plus dans l'entrée - sûrement partit au sale. Quand il entra dans la cuisine, son assiette était déjà remplie alors que Marie coupait le pain. Rien ne pouvait aller mieux, et, pourtant, tout au fond de lui, quelque chose le titillait. Comment être sûre qu'elle n'avait fait aucune bêtise en son absence ? Il rêvait de pouvoir l'emmener avec lui à chaque déplacement, si seulement c'était possible.  

Le repas avait été simple, mais bon, comme toujours. Il ne pu s'empêcher de sourire tout en se déchaussant, attrapant le journal en attendant que Marie lui serve une tasse de café, mais elle en avait décidé autrement. D'un geste doux, mais assuré, elle se saisit du journal d'Apollinaire pour le reposer à sa place et donna, à la place, une petite affiche à son mari. Une vente de cupcakes pour les enfants de l'orphelinat. « Avec tout ce que je leur donne... » dit-il tout en avançant sa tasse de café vers elle pour souligner son impatience, mais elle ne bougea pas. Marie n'était qu'une frêle fillette de vingt ans, mais pourtant, quand il s'agissait d'aider les enfants, les animaux, ou n'importe quoi qui pouvait exister sur cette terre, elle se transformait en une vraie femme, déterminée à avoir ce qu'elle voulait. C'est sans doute pour cela qu'elle avait réussi à épouser Apollinaire. Dans ses moments là, elle lui faisait penser à sa vieille grand mère serbe, qui, d'un coup de poing sur la table, ramenait le calme partit tout les hommes de la famille. Devant la fermeté de sa femme, il ne put se résoudre à lui résister. « Bien, j'y vais. » dit-il tout en remettant ses chaussures. L'air frais lui ferait du bien de toute façon. Il remit son manteau, attrapa un parapluie vu là saison et s'engouffra dehors, rêvant de son café chaud qu'il l'attendait pour son retour.

La boulangerie n'était pas très loin de chez lui. Il n'avait qu'à marcher une dizaine de minutes, pendant lesquels il pouvait passer des coups de fil pour son travail. Il n'était jamais tranquille. Arrivé devant la boulangerie, sur les coups de midi, il s'arrêta pourtant devant un bien joli spectacle. La jeune assistante du médecin de la ville, la jeune Parvati, venait de tomber lamentablement sur ses fesses, faisant tomber sa boite à pâtisserie alors qu'une averse commençait à s'abattre sur la ville. Décidement, cette jeune fille avait très rarement de la chance. Apollinaire s'approcha d'elle, l'abritant sous son parapluie mais ne se donnant pas la peine de sourire pour la saluer. Il jeta un coup d'oeil à la boite, qui contenait les fameux cupcakes. « Je vais vous les racheter. » dit-il en l'attrapant par le bras et la relevant sans lui demander son avis. Cela faisait bien faire deux semaines qu'il était parti, mais il ne se donna pas la peine de demander des nouvelles de la jeune femme. « Vous ne vous êtes pas fait trop mal ? » demanda-t-il tout de même, par acquis de conscience. Il commença à se tourner vers la boulangerie, invitant par un geste la jeune fille à le suivre, l'abritant toujours sous son parapluie. « Ma femme s'est-elle bien comportée en mon absence ? » Oui, parce qu'au fond, c'était tout ce qui l'interessait vraiment. Il appréciait la petite Parvati de par sa fragilité, mais il ne pouvait que l'aimer plus quand elle lui racontait la vie de sa femme durant son absence. Ca valait bien quelques cupcakes.

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A. Parvati 'Paro' Kapoor

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A. Parvati 'Paro' Kapoor
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MessageSujet: Re: “ don't worry, life isn't so bad. ”     “ don't worry, life isn't so bad. ”  EmptySam 28 Déc - 15:02



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Tout ça pour rien. Elle avait attendu, impatiente de voir le visage des enfants s'illuminaient. Elle savait que ce n'était pas grand-chose, mais qu'une pâtisserie, ça faisait toujours plaisir. C'était plus fort que Parvati, dès qu'il s'agissait d'enfants, elle essayait de faire de son maximum pour aider. Au fond, elle faisait ça pour se sentir plus vivante. Pour sentir qu'elle accomplissait quelque chose, qu'elle était utile à quelque chose. Depuis toute jeune elle avait cette impression horrible de ne pas être à sa place. De vivre quelque chose qui n'était pas destiné pour elle. Elle se sentait coincé, prise au piège, mais tentée de sourire à la vie convaincue par son optimisme maladif que tout irait bien. Aujourd'hui, rien n'avait vraiment changé. Elle était contente d'avoir un travail, de subvenir à ses besoins malgré un revenu léger, mais quelque chose de manqué. Il y avait un vide à combler, un énorme vide qui semblait ne pas vouloir se remplir. Aujourd'hui, savoir qu'elle irait voir les orphelins à sa pause lui avait donné assez d'énergie pour croire que tout allait bien. Il aura fallu d'une fraction pour que tout s'écroule de nouveau. Elle devait être maudite ou quelque chose comme ça. Sa maladresse l'étonnait elle plus que quiconque. Désormais à terre, les cupcakes étaient immangeables. Qu'allait-elle pouvoir apporter aux orphelins maintenant ? Elle se sentait impuissante et l'espace d'une seconde elle pensa même à pleurer. Elle avait froid, elle avait perdu l'unique chose qui lui avait donné le sourire de toute la matinée et maintenant elle n'était même pas sûre d'avoir assez d'argent pour en racheter. Elle était d'ailleurs persuadée qu'une fois rentrée chez elle, elle allait tomber malade. Surtout avec la pluie qui commença à tomber.

Elle eut alors l'impression que quelque chose la protéger de la pluie et son regard se porta sur Apollinaire qui se tenait juste à côté. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, il la soulevait par le bras tout en lui disant qu'il allait les racheter. Surprise, Parvati tenta d'articuler quelque chose, pour au final se taire. Apollinaire est un peu brutal, rude et Parvati se demandait s'il lui arrivait de sourire de temps en temps, mais ce n'était pas quelqu'un de mauvais. Du moins, elle le pensait. Elle l'avait souvent croisé au cabinet médical du Dr Carter, elle y voyait aussi souvent sa femme. D'ailleurs, maintenant qu'elle y pensait, ça faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vu. Il était souvent en voyage d'affaires, c'était un grand homme d'affaires.

« - Oh, je... je vais bien, merci... merci. » Elle le suivit alors, s'abritant sous le parapluie de monsieur Smirnov, tout en se dirigeant vers la boulangerie. D'un geste de la main, elle tentait de nettoyer les plis de sa robe légèrement trempée avant de poser son regard sur la personne qui était là. Il venait de lui demander des nouvelles de sa femme, Marie. Parvati aimait beaucoup la jeune femme. Elles se ressemblaient au fond. Elle était gentille et douce, quand elle était là pour aider et qu'elles finissaient par manger ensemble à la pause de midi, Parvati trouvait sa compagnie des plus agréables. Replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille, la jeune femme répondit :

« - Oui, très bien. Elle est passée aider la semaine dernière et je dois bien avouer que le Dr Carter aurait eu beaucoup de mal à tout faire sans elle. Elle est d'une aide très précieuse. » Avec le temps actuel, beaucoup de villageois tombaient malade. Avec le monde fou qui s'était accumulé dans la salle d'attente, Parvati avait dû appeler Marie pour voir si elle pouvait venir, ce qu'elle accepta très vite.
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M. Apollinaire Smirnov

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MessageSujet: Re: “ don't worry, life isn't so bad. ”     “ don't worry, life isn't so bad. ”  EmptyDim 12 Jan - 19:12

La jeune femme essaya d'articuler quelque chose mais Apollinaire n'y prêta même pas attention. Il pensait à son café qui l'attendrait à la maison, celui que Marie lui avait refusé pour qu'il vienne ici. Peu de gens devait se douter que sa jeune et chétive femme pouvait ainsi le mener par le bout du nez, et pourtant, il se retrouvait dehors, sous la pluie, a devoir acheter des pâtisseries pour les enfants de l'orphelinat. Parvati le remercia tout en essayant de nettoyer sa robe abîmée par sa chute avant de lui répondre. « Oui, très bien. Elle est passée aider la semaine dernière et je dois bien avouer que le Dr Carter aurait eu beaucoup de mal à tout faire sans elle. Elle est d'une aide très précieuse. » Apollinaire hocha la tête tout en ouvrant la porte de la boulangerie pour la jeune secrétaire médicale. Il était vrai que le temps capricieux avait du en rendre malade plus d'un, mais la façon dont Parvati lui parla du docteur Carter lui hérissa le poil. Le Docteur Carter aurait eu beaucoup de mal à tout faire sans elle. Cela voulait dire que le Docteur Carter appréciait un peu trop le temps qu'il passait avec sa femme à lui, Apollinaire, ou tout du moins c'était ce qu'il en concluait. Et cela l'énervait au plus haut point. « Si notre cher Docteur ne se sent pas les épaules d'un cabinet, peut-être qu'il devrait rendre sa blouse plutôt que de profiter de l'aide d'une jeune fille naïve non ? » dit-il d'un ton sec tout suivant Parvati dans la boulangerie, se mettant dans la queue, plutôt longue aujourd'hui. Il referma son parapluie d'un coup sec, quelque peu énervé. Pourquoi cela le mettait-il dans cet état là ? Il fallait avouer que le Docteur Carter était un bel homme, il avait une bonne condition même si celle d'Apollinaire était sans doute plus avantageuse. Pourquoi cela le mettait-il dans cette état ? Peut-être parce que, quand lui n'était pas là, le cher et tendre Docteur Carter avait toujours besoin de sa petite Marie.

« Je suis désolé. » dit-il au bout de quelques secondes de silence en soupirant. « Je ne voulais pas dire ça, c'est juste que... » il croisa les bras, ses yeux passant sans grand intérêt sur toutes les pâtisseries présentes dans la vitrine intérieure. « … mon voyage ne s'est, disons, pas très bien passé. » A vrai dire, il pensait être mieux accueilli, mais le premier écho qu'on lui faisait était que sa femme était précieuse au Docteur Carter, pas vraiment ce qu'il avait besoin d'entendre. Mais ce n'était pas la faute de la pauvre Parvati, et, bien qu'il soit un homme de passions, il savait bien reconnaître ses torts. Ils se rapprochaient doucement de la caisse, pas à pas. « Ce doit-être votre pause déjeuner non ? » dit-il en se tournant vers elle, pour animer la conversation. « Vous aurez le temps de manger avec toute cette histoire ? » s'enquit-il, sans pour autant sourire à l'adresse de la jeune femme. Il n'était pas antipathique, loin de là, sourire n'était juste pas dans son habitude. D'aussi loin qu'il se souvienne, il souriait rarement. Marie arrivait à le faire sourire. Que Parvati lui apprenne que le Docteur Carter trouvait sa femme précieuse ne le motivait pas vraiment. La simple phrase de Parvati réussissait à le mettre dans tout ses états, si bien qu'il pensait à tout sauf à l'instant présent. Il n’allait quand même pas rentrer en courant pour interdire à Marie de revenir au cabinet sous prétexte que le docteur appréciait son aide. Après tout, il en faisait toute une montagne, mais peut-être n'était-ce là que du professionnalisme. Il préférait garder le bénéfice du doute.

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