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 “ – Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO

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A. Parvati 'Paro' Kapoor

• Âge : 31
• Secrets découverts : 158
• Talevillien depuis : 17/12/2013
• Cagnotte : 120
A. Parvati 'Paro' Kapoor
My life is a fairy tale


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MessageSujet: “ – Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO   “ –  Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO EmptyMer 5 Mar - 11:53

When someone is your friend, you don't care about what others thinks.•

Sans être vraiment doué avec les ordinateurs, Parvati essayait de remplir un formulaire sur le logiciel du cabinet pour rajouter la nouvelle patiente du docteur Carter. Actuellement, il était avec elle et pendant ce temps sa secrétaire tentait - tant bien que mal - à se faire à cette nouvelle technologie. Le logiciel était nouveau, soi-disant plus performant, mais surtout plus compliqué. Elle qui avait déjà mis un temps fou avant de comprendre l'ancien devait maintenant réapprendre celui-ci et rajouter de nouveau tous les patients à l'intérieur. Elle devait faire ça vite en plus, ce qui n'était pas forcément l'une de ses qualités premières. Néanmoins, elle se disait qu'en une matinée, elle allait bien finir par comprendre comment tout ça fonctionnait et peut-être même qu'elle finirait tout ça dans les jours à venir. Passons, concentré dans sa tâche, la jeune femme tapais sur son clavier comme si sa vie en dépendant et avec une précaution énorme. Il y a une heure, elle avait d'ailleurs fait une mauvaise manipulation qui lui avait effacé un dossier. La pagaille. Réajustant ses lunettes sur son nez, Parvati soupira. Qu'est-ce que c'était long à faire ! Elle soupira, tentant d'attraper de sa main la tasse de thé qui se trouvait non loin dans l'espoir que ça lui donne un peu plus de courage et de force pour la longue matinée qu'elle subissait. Tout en un coup, la porte à droite s'ouvrit. Le médecin raccompagné sa patiente, Madame Leclaire, jusqu'à la porte d'entrée. Parvati se surprit à le regarder, à le suivre le long du chemin de son regard jusqu'à baisser la tête lorsqu'il se retourna enfin. Elle fit mine de se reconcentrer sur son ordinateur, alors que le docteur s'avançait jusqu'à son bureau qui se trouvait derrière un comptoir en bois. Il s'appuya dessus, tout en ayant au préalable poussait des prospectus posés là. Il se pencha légèrement vers Parvati qui recula, le regardant cette fois.

« - Je veux que ça soit fini pour ce soir. » Elle tenta de répondre à ça, mais ce contenta d'avoir du mal à trouver un début de phrase jusqu'à ce qu'elle arrive à dire en toute simplicité : « - Mais je ne travaille pas le samedi après-midi puisqu'on ferme. » Elle sentie un frisson la parcourir alors qu'Antoine Carter avait posé ses yeux dans les siens. Un regard qui voulait tout dire. Etait-ce de la haine qu'elle voyait-là ? Non, quand même pas ? Si ? « - J'ouvre exceptionnellement cet après-midi, alors fait ton job. » Parvati ravala sa salive. Mais il n'avait aucun rendez-vous cet après-midi ! Qu'allait-il faire ? S'enfermer dans son bureau et lancer un coup d'oeil toutes les 5 minutes pour voir si elle continuait de bosser ? « - Je ne vais pas te le dire 36 fois, ce soir je veux que ça soit bouclé. » Il s'était éloigné, mettant ses mains dans les poches et lançant un dernier regard à Parvati avant de retourner dans son bureau. Une fois la porte fermée, Parvati eut l'impression qu'elle pouvait enfin respirer. Mais un léger gémissement sortie de ses lèvres. « - Et le shopping de cet après-midi alors ? Mince... » Une mine boudeuse sur le visage, elle lança un coup d'oeil à l'heure actuelle et maudit le docteur avant de continuer. Elle ne pouvait pas envoyer de sms à Alma, elle n'avait plus de crédit et si jamais elle passait un coup de fil avec le téléphone du cabinet, le docteur allait l'entendre. Elle tenta quand même d'envoyer un email : ''C'est mort pour le shopping j'ai l'impression. On se retrouve quand même au salon de thé si jamais je m'en sors vivante.'' La pile qui se trouvait à côté d'elle lui donnait déjà la nausée. Elle allait se chopé une migraine pas possible à ce rythme.

C'est fou, mais depuis la mort de la mère du docteur, Parvati avait l'impression que celui-ci se défoulait constamment sur elle. Comme si elle était devenue un bouc émissaire parfait pour la situation. Plus les mois avançaient plus Antoine se montrait véritable abject. Il était froid, dur, presque sadique par moment et tout semblait tourné autour du fait que Parvati devait en baver à chaque fois qu'elle mettait un pied ici. C'est dingue, parce que la jeune Paro, elle aimait ce travail. Elle aimait rendre service, aider les patients. Sa nature gentille et douce était idéal pour ce job et depuis le temps elle connaissait toutes les ficelles du métier - sauf au niveau technologique, mais ça c'était autre chose - Maintenant, elle avait aussi l'impression qu'Antoine faisaient tout pour qu'elle démissionne. Voulait-il vraiment qu'elle s'en aille ? Il la détestait donc à ce point ? Secouant la tête, Parvati se concentra de nouveau sur le second dossier qu'elle remplissait dans le logiciel. Plus que 67. Elle tentait d'aller plus vite, mais elle avait aussi peur de faire une faute. A 12h30, le docteur s'en alla manger, mais il était hors de question pour Parvati de faire une pause. Elle voulait finir ça. Elle voulait partir du cabinet à 15 voir 15h30 pour pouvoir ensuite aller faire du shopping comme prévu. Elle devait ensuite rejoindre son amie à un salon de thé et au pire, elle se goinfrait de cupcakes, ce n'était pas si grave ! Une heure et demi plus tard, Antoine retourna à son bureau, puis, ressortie en regardant Parvati qui continuait à se battre avec le logiciel.

« - Vous... » Parvati leva les yeux, surprises. Le docteur secoua négativement la tête avant de retourner dans son bureau. Un moment, un léger moment, Parvati pensa qu'il allait lui demander si elle avait mangé, mais non. Elle haussa les épaules, sans prêter attention à ça. Par chance, elle termina à 16h. Bon, ce n'était pas vraiment le planning qu'elle pensait, mais c'était fini ! Elle se précipita vers le bureau, s'arrêta devant la porte, ravala son excitation et toqua. Un grave « Entré ! » lui permit d'ouvrir la porte. « - J'ai terminé. Mais je ne peux pas rester plus longtemps, j'ai un rendez-vous et je suis déjà bien en retard, donc je vais y aller maintenant et je... » « - D'accord, fermé en sortant. » Bon, ce n'était pas grave s'il n'y avait pas de phrase comme 'merci, bon travail, aller prendre le reste de votre journée' mais au moins, elle pouvait se casser d'ici vite fait bien fait ! Elle envoya un nouvel email à Alma en disant : '' J'ai fini ! J'essaye de faire un peu les boutiques et j'arrive !''

Faire du shopping un panini poulet-moutarde dans la bouche, était-ce classe ? Elle avait tellement faim qu'elle s'était achetée un truc dans le premier stand qui s'offrait à elle. Dans sa robe fleurie, Paro allait de boutique en boutique tentant de dénicher la perle-rare. Heureusement que ses talons n'étaient pas très haut, sinon elle aurait eu très vite mal au pied. Sans surprise, elle trouva 3 choses : Une pochette en daim bordeaux qu'elle cherchais depuis des mois, une robe asymétrique noire et dentelle et une paire de chaussure de la même couleur de la pochette et de la même matière, avec une courbe en doré éclatant. Elle tomba ensuite amoureuse d'une chemise, mais elle savait que son salaire ne lui permettait pas d'acheter plus de choses. Elle bouda, puis soupira, puis pris l'objet en photo et termina dans sa boutique préférait où elle acheta 2m de tissus. Elle pria ensuite pour que Alma ne la tue pas. Elle avait déjà plus d'une quinzaine de minute de retard. La classe. Quand elle arriva Alma était déjà installé à une table. Tout en posant ses sacs à terre, Parvati prit place en face de son amie.

« - Pardon, mon patron m'a pas vraiment laissé le choix. J'ai quand même eu une petite heure ou deux pour faire quelques boutiques, donc j'ai des trucs à te montrer, même si c'est pas grand-chose... » Elle s'arrêta net avant de ressortir un simple : « - Désolée. »
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Alma Leech

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MessageSujet: Re: “ – Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO   “ –  Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO EmptyVen 14 Mar - 17:12




 
 
 

Qui a dit que la sorcière n'avait pas autant de classe sur la terre que dans la mer ? Je n'ai jamais été aussi belle de toute ma vie, et pourtant j'ai des jambes. Mais leur galbe gracieux aux courbes parfaitement rondes me rend plus que satisfaite. Chaussée d'escarpins bleu marine, assortis à une robe patineuse de la même couleur, et qui plus est, pailletée, je brille parmi les habitants de cette ville. Le soleil m'a pris pour cible et s'aveugle lui-même en se frottant à moi. Si vous vous demandez où se cache la boule à facette qui vous pique les yeux, ne cherchez plus, elle est là. Pas besoin d'aller suer en discothèque. Je rehausse mes lunettes de soleil sur le bout de mon nez et prend quelques minutes pour répondre à Parvati, ma copine de shopping qui fixe une heure pour le thé. Je m'allume ensuite une clope, retenant mon poids d'une hanche penchée, et entrouvrant légèrement mes lèvres rosées pour laisser la fumée s'échapper. Ma chienne bien installée dans mon sac à main, j'arpente les rues commerçantes avec mes sacs de vêtements tout frais achetés dans la haute couture, n'accordant aucun regard aux boutiques qui ne sont ni ma came, ni à la hauteur de mon porte-feuille. Ah, ces bonnes femmes vendeuses font des moues, rêvant que j'entre chez elles. Je souris, mais sûrement pas pour elles. En réalité, j'aperçois à l'angle de la rue, Rose chez un glacier, en charmante compagnie. Je prends discrètement une photo et l'envoie à Valentin. Parfait. Je bifurque dans une nouvelle ruelle pavée et entre dans ma boutique favorite, clope en main. Théâtralement je relève mes lunettes sur ma tête et pose délicatement mon sac sur un fauteuil. « C'est qui le bébé à sa maman ? Qui c'est ? C'est Kitty, c'est mon bébé ! » La stagiaire arrive alors à vive allure, un cendrier tendu, suivie de près par la patronne. S'en suit une discussion tout à fait inutile et ennuyante à souhait, comme d'habitude, qui prend un meilleur tournant dès qu'elle me montre sa nouvelle collection de printemps. Je tend mes lunettes de soleil à la stagiaire tout en laissant mon mégot dans son cendrier et me penche sur les vêtements. Après quelques minutes d'essayages qui se sont éternisées en une ou deux heures, je sors de la cabine et souris malignement à la stagiaire recouverte d'une montagne de fringues que j'ai choisi. « Tu commanderas cette jupe à ma taille s'il te plait, et tu me l'envoies ? » dis-je à la gérante qui acquiesce avant de passer à la caisse. Mes emplettes faites, mes sacs en main, je repars vers l'avenue Carroll, en direction du salon de thé. L'heure du rendez-vous avec la belle au teint hâlé approche. La chère Blanche, pure comme la neige disait-on. C'est ici que je l'ai rencontrée, c'est ici que je m'en occuperais. Je dessine un grand sourire sur mon visage lorsque j'aperçois le patron du salon, sachant pertinemment qu'il n'aime pas quand j'emmène Kitty, mais il tolère. Une serveuse me guide à une table, placée près d'un balcon, avec des fauteuils rembourrés, comme je les aime. « Mettez-moi deux douzaine de cupcakes de tous les goûts, une assiette de macarons, et je veux du thé bergamote, fruits rouges et pêche. Merci. » Je pose mes lunettes, mon sac, mon cul, et m'aperçois qu'elle est encore là, perchée comme une idiote avec un regard sceptique, de ceux qui jugent. « J'attends quelqu'un ! Je ne vais pas m'enfiler tout ça à moi seule. Allez ! » Elle n'a pas besoin de savoir que Parvati n'en mangera pas le quart. Ça, c'est entre moi et ma fourchette. Je n'attends pas longtemps avant d'être servie et prend une photo de la table remplie que j'envoie à Louis. Petite habitude entre nous, je lui montre ce que je mange, et il me fait savoir qu'il est heureux pour moi : fais gaffe que ta demi-lune devienne pas une lune entière hein. Mon cher mari. J'engouffre enfin un cupcake chocolat framboise dans ma bouche appâtée quand Parvati arrive en trombe. Je souris avec tendresse, oubliant que mes dents doivent en ce moment ressembler à une colombe qui se serait fait chier dessus. À cause du chocolat, s'entend. « Allons allons chérie, il n'y a aucun problème. Nous sommes des femmes, de toute évidence nous sommes surbookées, il n'y a pas besoin de t'excuser. Montre moi plutôt tes achats ! » Je ne relance pas le sujet sur son patron, de peur que la conversation prenne un tournant peu arrangeant. Mais je n'en perds pas le nord pour autant. « Et comment vont les amours ? » dis-je, l'oeil malicieux et en alerte, tout en lui servant une tasse de thé.
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A. Parvati 'Paro' Kapoor

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MessageSujet: Re: “ – Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO   “ –  Un cupcake pour deux. ” ▲ ALMA&PARO EmptyLun 17 Mar - 12:53

When someone is your friend, you don't care about what others thinks.•

Alma était magnifique. Parvati se sentait toujours un brin intimidé par la confiance et l'aura que la jeune femme dégageait. Elle semblait tellement puissante, sûre d'elle. Elle avait ce caractère que la jeune indienne aurait aimé avoir : le genre de femme qui marche la tête haute, qui plait, qui impose. Elle était fantastique et il faut dire que Parvati admirait beaucoup Alma. Comment ne pas l'admirer en même temps ? Elle culpabilisa donc très vite quand elle s'aperçue de son retard. La honte. Elle qui était toujours très ponctuelle, la voilà en retard à cause de son patron et de ses soucis mentaux. Antoine avait vraiment un problème avec Paro et plus elle y pensait plus elle se demandait si elle ne devait pas... aller vers lui et lui dire ses quatre vérités. Sauf qu'elle avait besoin de ce job, donc elle ne pouvait pas vraiment se le permettre. Passons, arrivant enfin, Parvati aperçue Alma à une table, près d'un balcon. Elle ne manqua pas de repérer Kitty aussi, l'adorable chihuahua d'Alma. D'ailleurs, il n'y avait qu'elle qui avait le droit d'entrée ici avec son chien. La preuve à quel point Alma était incroyable. On ne pouvait pas lui reprocher d'être elle-même, c'était fantastique. Tout de suite après les excuses répétitifs de la jeune indienne, elle ne manqua pas de lui dire que ce n'était pas grand-chose. Parvati luifit son plus beau sourire, contente. Elle bava - intérieurement - devant la nourritures posaient sur la table. Tout avait l'air tellement bon, vraiment. Elle pouvait même sentir le thé, encore chaud, dans la tasse en face d'elle. Ça sentait si bon !

« - Ce n'est pas grand-chose, mais j'ai quand même trouvé un ensemble assez sympa. » Dit-elle alors en se penchant pour piocher dans ses sacs la robe noire qu'elle avait acheté plus tôt. Parvati fonctionnait toujours par ensemble. Elle aimait prévoir une tenue dans son entièreté. Elle achetait rarement qu'une seule pièce, elle achetait toujours les accessoires en même temps. Pour elle, c'était primordiale. Il fallait à tout prix qu'elle ne dépense pas pour rien. Que ses tenues finissent par être porté à un moment ou à un autre. Tout en se levant, pour montrer la robe devant elle, comme si elle l'essayait, elle lança à Alma : « - Ça fait longtemps que j'en cherchais une et j'ai craqué. Je pense que je devrais juste la réajuster au niveau des épaules. » La particularité de Paro, c'était qu'elle finissait toujours par retoucher ses vêtements pour les rendre uniques. Elle aimait jouer avec les détails. Elle se pencha alors pour sortir la pochette et les chaussures. « - Alors ? » Elle rangea de nouveau les accessoires et la robe avant de s'asseoir de nouveau en face d'Alma.

« - Et toi, montre ! » L'enthousiasme de Parvati était justifié. Alma avait de très bon gout en matière de mode. En attendant de voir ce que son amie avait trouvé, Parvati attrapa un cupcake aux spéculos. Miam. Une bouchée suffit à calmer toute la colère de Parvati. C'est alors qu'Alma lui demanda pour les amours. La conversation favorite des femmes. Ou pas. Reposant sa cuillère et prenant la tasse de thé, Parvati avoua :

« - Il ne se passe toujours rien. J'ai encore croisé Jules avant-hier et il est... passé à côté de moi. Il m'a regardé dans les yeux et il est passé à côté de moi comme si j'étais une inconnue. Et plus le temps avance, plus j'ai l'impression de l'être au final. Je ne comprends vraiment pas pourquoi il m'ignore comme ça. Je ne sais pas quoi faire. » Et apporta à ses lèvres la boisson chaude qui lui fit énormément de ben.
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