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 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.

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Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 1394398366-rgnewbie


Victoria Romanov

• Âge : 30
• Secrets découverts : 265
• Talevillien depuis : 17/01/2014
• Cagnotte : 370
Victoria Romanov
My life is a fairy tale


Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. Empty
MessageSujet: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 22:03




Roxane Heathcliff

Allez, raconte tout, mon chou !

AGE : 26 ans METIER OU ETUDES : J'ai suivi des études de médecine à Paris, et je suis désormais infirmière DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née à Genève, en Suisse, le 20 juillet 1987 PARTICULARITES : J'ai une cicatrice sur la hanche, suite à un coup de couteau donné lorsque je vivais encore à Paris GROUPES : Je prie la bonne étoile. AVATAR : Carey Mulligan CREDITS : Sugar Cane et Tumblr.


A Taleville
PERSONNE N'EST PARFAIT, ALORS VAS-Y, BALANCE TES QUALITES ET TES DEFAUTS, ON EST LA POUR T'ECOUTER MON POTIT ! J'ai toujours été de nature plutôt douce. J'aime apprécier les petits plaisirs de la vie et voir le bon côté des choses lorsque j'en ai l'occasion, bien que j'ai toujours un peu de mal, notamment suite à la mort de mon fiancé. D'ailleurs, c'est pour cette raison que j'essaye tout du moins d'amuser mes amis et les patients de l’hôpital, voir même les inconnus dans la rue. J'ai ce besoin de dissiper la tristesse chez les autres, car je pense que pour que de bonnes choses nous arrivent, il faut que cela vienne aussi des autres. Alors, si je peux contribuer de quelque manière que ce soit à aider au bonheur de quelqu'un, je serai ravie de le faire.  On peut donc dire que je suis assez dévouée et divertissante, du moins j'essaye de l'être.

Autrement, je suis aussi de nature curieuse, j'aime découvrir de nouvelles choses et me mêler un peu de ce qui ne me regarde pas toujours... mais pas par intérêt ou méchanceté, plutôt parce que j'aime savoir ce que je devrai parfois ignorer, et que ça donne un petit côté aventureux à ma vie. Mais ne croyez pas que je ne suis pas disciplinée cependant ! J'ai reçue une excellente éducation dont je suis assez fière, et je connais mes limites... enfin, je crois. Je suis aussi assez rêveuse et déterminée ; lorsque je veux quelque chose, je suis prête à me battre pour l'avoir. Que ce soit quelque chose d'important ou non d'ailleurs ! Je suis de nature combative, aussi je n'abandonne pas facilement ce que j'entreprends, et je n'ai pas peur de me mouiller, que ce soit pour moi, les gens que j'aime ou des gens ayant besoin d'aide.

Je crois que l'on peut dire que quelque part, je suis aussi quelqu'un de courageux. Si ces personnes ont besoin d'aide, même si je ne suis pas forcément à la hauteur, je ferai tout mon possible pour les aider et je n'hésiterai pas une seule seconde à me blesser voir même à me sacrifier pour leur sauver la vie. J'ai peur de la mort, du deuil et de tout ce qui s'en rapproche... mais je préfère y passer moi, en faisant quelque chose de bien et ainsi, pouvoir me dire que j'aurai sauvé la vie de quelqu'un qui le méritait plutôt que de vivre avec une mort que j'aurai pu éviter sur la conscience. C'est sans doutes car je suis une personne très affective que je me soucie autant des gens et que j'ai besoin souvent de sentir le contact de ceux-ci. J'ai besoin de me sentir vivante, de sentir que l'on m'aime autant que j'aime les autres. Je suppose que j'ai peut-être aussi peur d'être abandonnée.

C'est un peu un problème aussi d'ailleurs, car je suis quelqu'un de très émotif et de triste. Evidemment, je n'ai pas toujours ce que je veux, mais je supporte encore moins le fait de me mettre quelqu'un que j'aime à dos. Je n'aime pas beaucoup les conflits et je ne supporte par la trahison. J'ai beaucoup de cœur et j'ai tellement peur de me sentir brisée à nouveau que je suis peut-être un peu trop attachée aux gens que je connais déjà bien, comme Gael ou Isaac. Je tente de me créer une couverture et de me protéger à vrai dire. C'est pourquoi je suis assez discrète, renfermée et secrète généralement. Je n'ose pas trop me dévoiler et je mise sur la discrétion et le peu d'informations que je peux donner aux gens pour me défendre au mieux. Je ne suis pas WonderWoman et je ne suis pas invincible, je suis fragile à vrai dire.

Pour finir, je dirais que bien que je n'aime pas les conflits, j'ai du mal à les éviter parfois. Je suis un peu colérique et j'ai du mal à contrôler mes émotions lorsque je m'emporte. Je tente de me retenir mais je n'y arrive pas très longtemps, ce qui me fait me sentir d'autant plus mal après. De plus, je suis quelqu'un d'assez vulnérable et une victime facile puisque je suis naïve visiblement. Je ne me méfie peut-être pas assez des gens, et je me laisse peut-être un peu facilement emporter dans des situations gênantes ou dangereuses.  Néanmoins, pour finir sur une note un peu plus joyeuse et qui me fait assez chaud au cœur, on m'a déjà confié me trouver éblouissante. Je ne suis pas certaine de savoir pourquoi, mais cela me redonne confiance en moi et ne peut que renforcer l'image que j'ai de moi, et celle que je donne aux autres.
ET SINON, Y A DES TRUCS QUI TE DEFINISSENT EN PARTICULIER ? DES ANECDOTES, DES MANIES, DES PREFERENCES, ON VEUX TOUT SAVOIR ! J'ai l'impression d'avoir cette envie de vivre un peu particulière, que je retrouve chez peu de gens. Certains aiment s'amuser, faire la fête et vivre chaque instant comme si jamais il n'allait se reproduire... mais moi c'est différent. Je profite de tout, tout le temps. J'essaye de toujours prendre les bonnes décisions, d'être prudente mais de ne pas me priver de m'amuser et de ne pas oublier de vivre. Vivre, c'est tout ce qui importe, et ne pas se morfondre, ou alors très peu. J'ai besoin de me rendre utile, de faire des choses constructives et de me sentir bien. Ce n'est pas toujours le cas pourtant. A vrai dire, je pense que si je désire tant vivre, c'est parce que j'ai peur. J'ai une peur inconsidérée de la mort, de la perte et du deuil. Je ne sais pas pourquoi, si cela était déjà le cas avant que je ne perde mon fiancé... d'ailleurs, j'ai aussi une peur bleue du sang. Je ne supporte pas sa vue, elle me met dans un certain état et je ne peux me résoudre à le voir couler ou luire lorsqu'une blessure est encore fraîche. Je ne sais pas pourquoi je suis infirmière au fond, puisque du sang et des pertes, j'en vois assez souvent. Mais je suppose que c'est pour ça aussi que je fais ce métier. Pour essayer d'aider à sauver des vies. Éviter les deuils.

AH, AU FAIT, TU PENSES QUOI DES ETRANGERS QUI COMMENCENT A AFFLUER A TALEVILLE ? Je ne connais pas tout le monde ici, pas plus que ces étrangers. Néanmoins, je connais un peu le métier de chacun plus ou moins, et je connais au moins les gens de tête. J'ai une opinion sur les gens d'ici, mais je ne peux pas en avoir sur ces étrangers. Mais au fond, je m'inquiète plus si jamais une personne à laquelle je tiens ou moi-même se retrouve seule dans une ruelle par exemple, et que l'un de ces nouveaux arrivants se trouve là. On ne sait rien d'eux, alors mieux vaut être un peu méfiant.

DERNIÈRE QUESTION, EST-CE QUE T'AS PASSE UN PACTE AVEC LA MECHANTE REINE ? EST-CE QUE TU TE RAPPELLES DE TON PASSE ? Une reine ? Les reines sont des créations tout droit sorties de l'imaginaire de nos chers conteux des temps passés, ou bien encore de l'histoire de la plupart des pays. Mais je ne pense pas que Elizabeth II soit vile... je ne comprend donc pas cette question. Mon passé est ici, je n'ai jamais vraiment bougé à vrai dire. Du moins, je n'ai pas toujours vécu là c'est vrai, mais je me souviens de ce que j'ai vécu. Enfin, je ne comprend toujours pas la question...

Dans le conte
MERE-GRAND VEUX TOUT SAVOIR, AVANT, DANS LE MONDE DES CONTES, T’ÉTAIS QUI ? Mon nom est Emily. Vous ne me connaissez sans doutes pas, je n'ai pas eu une vie particulièrement folle et je ne sortais pas très souvent. J'ai toujours rêvé de trouver le grand amour et j'ai longtemps été à la recherche du bonheur. Vous savez ce que ça fait, d'avoir l'impression d'être heureux quand on vous tire par le bas ? De se faire mener en bateau sur un océan durant la tempête, lorsque les dieux sont en colère et que vous ne comprenez pas très bien ce qui les as mit dans cet état ? Mon désir dans ce sens-là, fut de prendre le large. Mais pour cela, il aura fallu que j'affronte la tempête et que j'embarque à bord du mauvais navire. Celui qui fonçait tout droit vers les abysses. Vous ne comprenez sans doutes pas ce que je veux dire, je dois reconnaître que c'est assez complexe pour moi aussi... J'essaye de comprendre, et plus j'essaye, moins j'y arrive. Je ne peux pas songer un seul instant à ce qui m'a été fait, car je n'ai pas les pensées aussi noires et l'esprit aussi malsain que l'était le sien.

Je l'ai connu lors d'une soirée organisée par des « amis » de mes parents. Dans la haute société de cette époque, les gens ne côtoyaient que ceux qui leurs ressemblaient. L'argent achète l'argent, et les réceptions engagent d'autres réceptions. Mais j'ai grandi dans ce décor époustouflant, je n'ai jamais manqué de rien. Je me contentai de me laisser emporter à travers mes rêves et mes activités, languissant chaque nouvel événement organisé par ces gens. J'ai peut-être menti dans un sens ; oui, il m'arrivait de sortir. Mais pas très souvent, chaque famille invitait les autres mais cela prenait des semaines, le temps de faire les invitations et de les envoyer, de préparer son manoir ou bien son château, ses jardins... une organisation qui se devait d'être irréprochable. J'ai toujours eu l'impression que le but de chacun était de vendre du rêve aux autres et de provoquer leurs jalousie et envies. Mais peut-être que ce n'était que ce que je pensais... du moment que je pouvais voir du monde, je me sentais bien.

J'ai reçue une bonne éducation, je n'étais pas parfaite mais j'excellais par exemple durant mes cours de piano. C'est un instrument vraiment somptueux, avec un son des plus mélodieux. On peut aussi bien passer du rire aux pleurs et enchaîner des airs aventureux aux dramatiques. Je ne saurais véritablement vous expliquer, mais j'ai voulu apprendre très vite. Ma motivation et ma persévérance ont fait de moi une jeune fille exemplaire et c'était ce que je savais faire de mieux. Je ne savais pas faire que ça, bien évidemment ! Mais c'était un plaisir, mon petit truc à moi. J'avais même l'occasion lorsque mes parents organisaient des événements chez nous, d'en jouer parfois toute la soirée. J'en étais ravie, mais j'avais l'impression que personne ne me remarquait lorsque j'en faisais. Je n'étais qu'une pianiste, accompagnant les danseurs et permettant aux conversations d'avoir un fond sonore musical. J'étais toujours à la recherche de ce garçon, celui qui me verrait parmi tant d'autres et qui, un jour, me demanderait ma main.

Désormais, je vous demanderai d'être attentifs. Désormais, l'histoire commence... et se termine. Vous allez comprendre.

Lors d'une énième réception, et plus précisément durant un bal, un homme s'approcha de moi. Il était bien plus âgé, d'au moins dix ans. Mais il dégageait une certaine prestance, un charme que les autres n'avaient pas. Il avait des manières, parlait bien et était un parfait gentleman. Je ne sais peut-être voir sans doutes rien de l'amour, mais à ce moment-là je croyais bien être tombée amoureuse. Comment ne pas l'être ? C'était le premier homme à vraiment s'intéresser à moi, à pouvoir prétendre gagner sa place dans ce rêve totalement illusoire que j'avais. La soirée en sa compagnie fut des plus agréables, il me posait mille questions sur ma famille, mon passé et mon présent. Je me complaisais à lui raconter ce qu'il voulait savoir, fonçant tête baissée dans le gouffre duquel j'eus plus tard, bien du mal à m'échapper. Et puis un jour, il vint à un événement organisé par mes parents et me demanda en mariage. Sauf que... les choses ne se déroulèrent pas tout à fait comme prévu.

Mes parents ne connaissaient pas cet homme, le trouvaient trop vieux pour moi et trop rapide dans sa demande. De plus, sa famille était totalement inconnue de tous. Mais c'était trop tard, je lui avais répondu oui, en secret, plus tard dans la soirée. Nous nous marierions en cachette, loin de tous ces regards indiscrets. L'heure était venue pour moi de partir vivre cette vie heureuse avec l'homme de ma vie, celui qui me comblerait de bonheur. Et c'est alors que je volais à ma mère quelques bijoux ainsi que la robe de mariée qui m'était réservée pour le jour où mes parents m'auraient donnée à un homme qu'ils auraient choisi. Je m'étais arrangée pour être la plus belle, je voulais qu'il ne voit que par moi et soit heureux lui aussi. C'était censé être le plus beau jour de ma vie. Alors pourquoi suis-je si malheureuse désormais ? Que je vous conte cette histoire du passé ? Et bien, je me rapproche de ce moment tragique. Notre mariage.

Dans la nuit, assez tard, nous nous sommes retrouvés près d'un arbre à la lisière de la forêt. Il me fit passer devant lui pour aller jusqu'à l'église où il avait convenu un mariage intime, où seuls nous deux serions présents ainsi que le prêtre. J'étais trop jeune, j'étais trop naïve. Sans que je ne me rende compte de rien, je me réveillais dans un autre monde. Vous connaissez tous l'au-delà n'est-ce-pas ? Et le monde des vivants, notre monde ? Eh bien... je n'appartenais plus à aucun des deux. J'étais le reflet de ma vie d'avant, mais mon cœur avait cessé de battre et je n'avais plus besoin de respirer, me nourrir, boire ou dormir. J'étais morte. Cependant, j'ignorai si mon fiancé m'avait assassinée ou s'il s'agissait de quelqu'un d'autre, d'une bête peut-être. Dans une incompréhension totale et avec une fin tragique, je passais plus jours, semaines et mois à me morfondre, dans ce nouvel endroit où squelettes, cadavres, vers, araignées et autres individus étranges vivaient.

Après un certain temps, je me suis habituée à eux. Ils étaient devenus ma famille, nous étions tous unis et je me serai presque plu ici. Mais je demeurai triste, perdue avec ce pauvre rêve impossible à réaliser. De nouveaux arrivants nous rejoignaient souvent, malheureusement pour eux. Parmi eux se trouvaient un chien, sur son collier était inscrit le nom de Sparky. Très vite, je nouais un lien très proche avec lui, à tel point que je le considérai même comme mon meilleur ami. Un chien n'a pas conscience qu'il est vivant ou bien mort... et il continue de remuer la queue, de sautiller partout et d'être heureux. Durant les mois où il fut parmi nous, je passais le plus clair de mon temps avec lui, nous étions presque inséparables. J'avais beaucoup d'affection envers ce petit chien, et je l'aimai vraiment. Il ne m'aurait jamais fait de mal, lui. Pourtant un jour, sans que l'on ne comprenne comment et pourquoi, il revint à la vie.

Et je restai là. Sa perte me fut presque fatale, je venais tout juste de perdre un être cher. Mais je ne pouvais qu'être heureuse de son retour dans l'autre monde, celui des vivants. Alors, de nouveaux arrivants vinrent, et l'un d'eux parla d'un nain. Ce nain pouvait conclure des marchés en échange d'un service magique. Je me renseignai donc au mieux puis grâce à une incantation dans un vieux grimoire poussiéreux, je parvins à l'invoquer. J'en fus d'ailleurs assez étonnée... mais c'était de la magie, et j'aimais croire qu'il existait une solution à ma situation. C'est alors que je lui demandai ce dont je rêvai désormais le plus au monde : retourner dans le monde des vivants. Retourner là-haut. En échange de cela, il me demanda quelque chose d'assez spécial. Je n'étais pas sûre de ce que cela pouvait représenter, aussi j'acceptais. Et le marché fut conclu. Je pus dire adieu aux « gens » de ce monde pour retourner parmi les miens, ceux auxquels j'aurai du toujours appartenir.

Le nain repartit alors avec sa part de notre échange : mon âme. A quoi pourrait-elle bien me servir puisqu'en mourant nous nous retrouvions visiblement dans ce monde des non-vivants ? Je ne comprenais toujours pas, et ne savais pas non plus ce que représentait une âme mais qu'importait, j'étais de retour ! Sauf que ce que je n'avais pas prévu, c'était que le marché était à prendre au pied de la lettre. J'étais bel et bien dans « mon » monde, mais... j'étais toujours un cadavre. En réalisant cela, je compris qu'il m'était impossible de retourner chez mes parents, retourner à ces soirées qu'autrefois j'adorai autant, revoir tout ce monde. Retrouver mon fiancé. Peut-être me cherchait-il ? Peut-être que personne ne savait où j'étais ? Après tout, je n'avais pas été enterrée si mon corps était toujours là... à force de me poser toutes ces questions et de comprendre que je n'avais finalement pas exactement ce que je voulais, je partis sangloter sur un rocher dans la forêt. Je n'étais toujours pas vivante, je n'étais pas non plus morte.

Je n'appartenais même plus à un monde, à un espace-temps. Je n'avais plus de famille, pas non plus d'amis, j'étais toute seule. Alors je restai là, pleurant sur mon sort et bien qu'était toujours un cadavre, et que je « vivais » sans vraiment savoir pourquoi et comment... j'avais le cœur brisé. Je n'avais plus de rêve, je ne pouvais vivre, rejoindre les miens, épouser mon fiancé. Je ne pouvais pas non plus « mourir » et espérer rejoindre l'au-delà, car peut-être que mon âme était nécessaire pour rejoindre cet autre monde. M'enfonçant plus tard dans la forêt, je tombais sur une clairière où se trouvait un coin d'eau et des animaux de la forêt. Étrangement, eux, ils ne me craignaient pas. Cela me fit quelques peu sourire, jusqu'à ce que je m'agenouille devant la petite rivière. Et c'est alors que je songeai à tout ce que je venais de perdre,  l'erreur que j'avais faite. Regarde-toi ma pauvre Emily, tu n'es qu'une jeune femme morte et seule, tu n'as plus rien ni personne ! Et soudain, quelque chose arriva au loin. Cela ressemblait à un épais et immense nuage sombre... et ce qui s'avéra être une malédiction pour tous venait juste de me ramener à la vie.  

Antartica
Aloors je suis la petite enquiquineuse qui vous as posé mille questions il y a peu ! :face : Je vais avoir 20 ans en février et je vis en dans le sud-est de la France. Je suis actuellement une formation, donc je n'aurai pas de vacances jusqu'au mois de juillet ; je vous le dit simplement car je vais avoir trois périodes de stages et que par conséquent, mon passage sur le forum pourra être restreint selon ! Enfin je ne sais pas, je vous dirais ça bientôt lorsque je commencerai. Sinon je me suis rendue compte que j'avais déjà vu le fofo en projet sur Bazzart il y a un petit moment en vous ayant dit ne pas savoir si je comptais m'inscrire... et bien j'ai cédé à la tentation :face : Et j'espère aussi que je serai à la hauteur de vos espérances avec Emily, de toutes façons si quelque chose ne va pas, ou que j'ai des questions à vous poser (a) je le ferai sans hésitation haha je continuerai de vous embêter un peu :DSinon mon message est déjà biiien long donc je me contenterai juste de vous dire merci pour votre patience aussi, et que j'ai hâte de rejoindre votre communauté ! validé par Hary

- a little less conversation -



Dernière édition par Roxane Heathcliff le Sam 18 Jan - 22:11, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 22:05





C'est l'histoire de la vie, le cycle éternel

«  On a deux vies, la seconde commence le jour où l’on réalise qu’on en a qu’une. »

Cela faisait plusieurs minutes que j'étais assise, le regard vide. Je devais parler, cela faisait bien dix minutes que j'aurai du commencer à dire quelque chose. Tic tac, tic tac. Le son de l'horloge me faisait bien comprendre que le temps s'écoulait, et que moi, je demeurai figée. J'étais une coquille vide, vue de l'extérieur. Au fond, j'étais pourtant bien vivante, j'étais seulement... brisée. Je m'étais faite tant d'illusions, de fausses idées et de plans pour le futur que j'avais oublié que la vie pouvait me reprendre ce qu'elle m'avait donnée : l'amour. Car je l'aimais, comme jamais je n'avais aimé personne. Nous étions fiancés et nous vivions ensemble. Je n'osais même plus rentrer chez moi, dès que je le pouvais je restai chez Isaac ou Gael. Mais il fallait que je parle, on disait que le temps apaisait les mœurs et que parler aidait aussi à... je ne sais pas très bien à quoi, à vrai dire. J'aurai pu aller voir Isaac, je ne l'aurai sans doutes pas dérangé. Mais je n'osais pas, je préférai voir quelqu'un qui ne me connaissait pas. Mais si je lui racontai, il me connaîtrait, il saurait. Pourtant, j'avais voulu venir le voir, donc je ne pouvais pas rester là sans rien dire.

« J'ai vécu en Suisse pendant des années, la majeure partie de ma vie. Mes parents avaient les moyens de bien s'occuper de ma sœur et moi, aussi nous avons eu droit à une excellente éducation. Je leur dois beaucoup. » Je m'enfonçais dans mon siège, fixant un point invisible sur le mur en face de moi. Je n'aimais pas trop raconter toute ma vie à cet inconnu, mais peut-être qu'il pourrait en tirer quelque chose, non ? « J'ai toujours été passionnée par la musique. Mon père voulait que j'apprenne à jouer d'un instrument, et j'ai choisi le piano. J'avais entendu différents airs joués par de grands compositeurs, et cela m'a donné envie d'essayer. J'étais douée. Je le suis toujours d'ailleurs, j'en suis assez fière. J'aime aussi danser, j'ai l'impression que les deux vont ensemble, vous voyez ? On ne peut danser sans accompagnement musical, et on peut jouer pour faire danser les gens. C'est agréable, et la danse permet de s'évader, de laisser son corps aller, seul ou avec un partenaire. J'aurai aimé naître à l'époque où il y avait tous ces grands bals d'organisés. »

Je souriais en me remémorant quelques films avec ces passages, comme dans Orgueil et Préjugés, lorsque Darcy et Elizabeth dansent ensemble. Enfin, j'étais sans doutes trop fleur bleue à aimer ce genre de films, mais j'assumais totalement. Après tout, il n'y avait aucune honte à avoir ! « Lorsque j'étais petite, il y avait un garçon avec qui j'étais amie. C'était, en dehors de ma famille, la personne la plus proche de moi, et avec le temps nous avons commencé à éprouver des sentiments l'un pour l'autre. Finalement, ce qui n'était qu'une amourette enfantine se transforma en véritable amour. Durant des années et des années, nous sommes restés ensemble, planifiant notre futur en profitant de notre insouciance et de notre imagination grandissante. C'était « stupide » et « mignon » à la fois. Nous ne connaissions rien à la vie, mais nous étions simplement heureux. Tellement heureux... mais ça n'aurait pu durer encore très longtemps. Il a du quitter la Suisse pour partir déménager en France, et je ne l'ai plus revu pendant un long moment. Quelques années. »

Je fis une nouvelle pause, de quelques minutes cette fois-ci. Il était difficile d'en parler comme si de rien n'était, comme si rien n'était arrivé. Une boule commença à se former dans ma gorge, et je tentais de contrôler ma respiration pour pouvoir continuer de parler. « J'étais triste, j'ai mis du temps à me faire à la séparation. Je l'aimais, et il m'aimait lui aussi. Mais deux adolescents insouciants ne peuvent pas faire tout ce qu'ils veulent, comme rester ensemble si l'un des deux doit s'en aller. Justement, je tenais le coup grâce à ma famille, car nous pouvions voyager et ils nous faisaient des cours eux-mêmes pour compenser le temps où nous n'allions pas toujours en cours. Ils ne pouvaient pas tenir en place, mes parents. Cependant, ma petite sœur a mal prit le fait d'être « arrachée » à sa vie stable, et elle a commencé à faire des fugues durant nos voyages. Une fois, alors que nous devions prendre l'avion pour partir d'une île et revenir en Suisse, elle avait disparu. Nous avons mit tout l'après-midi à la retrouver. Elle a commencé à fumer et à fréquenter de mauvaises personnes. »

En y réfléchissant bien, je ne savais pas vraiment si elle avait arrêté, mais je n'avais qu'à espérer. Qu'est-ce-qui pouvait bien me rester, puisque j'étais à Paris et elle en Suisse ? Surtout que nos parents ne voyageaient plus, ou seulement entre eux. Elle était assez grande pour rester seule à la maison, et c'était bien ce qui m'inquiétait d'ailleurs. Mais je n'avais pas fini, mes problèmes actuels ne concernaient pas vraiment ma famille... « J'avais peur pour elle, je lui faisais la leçon et j'ai tenté de l'aider au mieux. Enfin, après le lycée j'ai décidé de partir à Paris, suivre des études dans la médecine. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c'est ce qui m'intéresse le plus et me terrifie le plus en même temps. Les hôpitaux, les urgences... ils sont là pour sauver des vies ou soigner des maladies, et c'est ce que je veux. Redonner une chance à ceux qui en ont besoin. Mais c'est aussi un théâtre où la mort peut surgir brusquement et emporter dans le néant de pauvres gens qui n'ont pas pu vivre. Je trouve ça triste, mais il faut de braves personnes aussi, celles qui se battent pour lutter contre la mort. Je fais partie de ces gens-là. »

Je songeais alors à Gael, qui était un peu mon opposé à ce niveau-là. La mort me terrifiait et je faisais tout pour l'éviter, tandis que lui, il semblait l'aimer. Il y trouvait quelque chose de fascinant, ce qui me dépassait un peu par moments. « J'ai des amis ici. Deux en particulier, nous sommes très proches tous les trois. Mais pour en revenir à mon « histoire », j'ai retrouvé Jim ici. Disons juste que l'amour qu'il y avait entre lui et moi était toujours présent au fond, et un jour, il m'a demandée ma main. J'ai bien évidemment dit oui, c'est ce dont toutes les filles rêvent, non ? Que l'amour de leur vie les demandent en mariage et s'imaginer vivre ensemble, avoir des enfants... Je suis peut-être trop naïve. Mais c'est ça aussi, être amoureux. Ça rend naïf et aveugle. On se croit invincible, comme si rien ne pouvait nous atteindre... » Je cessais de parler, inspirant longuement puis expirant lentement. J'allais craquer. Mais je devais résister, qu'au moins je puisse finir ce que j'avais à dire. Je n'aimais pas pleurer devant les autres, ils voyaient mes faiblesses et pouvaient s'en servir contre moi. J'avais peur, et je me sentais mal pourtant, je ne devrais pas avoir à contenir mes émotions...

« On a emménagé ensemble, avec Jim. On sortait de temps en temps, c'étaiot une relation parfaite. Mais un soir, en attendant notre métro, nous nous trouvions avec un homme à l'allure un peu louche, et il se rapprochait lentement de nous. Nous sentions que quelque chose n'allait pas, aussi nous avons tenté de nous éloigner mais Jim s'est retrouvé pris au piège. L'homme avait décidé de lui passer la lame du couteau qu'il tenait sous la gorge, et il... il lui a demandé de lui donner son argent. » Je tournais la tête, ma visibilité devenant flouée par mes larmes. Je ne pouvais pas finir, c'était trop dur. Je n'allais pas pleurer, non, non, non. C'était impossible, pas ici, pas comme ça. Alors je me levais, attrapant mon sac et laissant l'argent de la consultation sur mon fauteuil. « Je dois y aller, excusez moi... » Je fonçais vers la porte de sortie, puis sortais de l'immeuble, marchant à vive allure pour m'éloigner d'ici. Je n'avais pas besoin d'un psy, il m'aurait jugé, lui. Je ne voulais pas en retrouver un pour lui parler. Ce qui était arrivé était déjà bien trop horrible pour que j'en parle à vive voix.

L'inconnu avait égorgé l'homme que j'aimais et il l'avait dépouillé, devant mes yeux, comme si je n'existais pas. Jim allait lui tendre son portefeuille, mais cela n'a semblé faire aucune différence. Peut-être que cet homme avait cru qu'il allait sortir son téléphone ou une arme ?  Tout s'était déroulé trop vite, aussi je ne savais pas quoi faire et j'ai tenté de prendre le couteau de cet homme pour qu'il ne puisse pas faire plus de mal et qu'il soit sans défense, mais rien ne s'était passé comme prévu. Qu'est-ce-qu'une fille comme moi pouvait contre un assassin ? Un homme qui provoquait la mort là où l'attendait le moins ? Je n'avais même pas songé à le tuer, par vengeance. Lui par contre, il n'avait pas apprécier ma tentative de « vol » et il me poussa par terre, me donnant un coup de couteau aussi, au passage. Il semblait que je sois suffisamment faible pour ne pas avoir la capacité de le poursuivre, aussi il partit avec l'argent et me vola mes bijoux. J'avais été blessée au niveau des hanches, mais la plaie n'était pas trop profonde, aussi je pus appeler les secours et la police assez rapidement. Je n'aurais pas du bouger, mais je m'étais tournée vers Jim, me rendant compte qu'il se vidait encore de son sang.

Une flaque s'était formée sous sa tête et son corps était devenu froid et blanc. Je m'étais accroupie près de lui tant bien que mal, attrapant son visage entre mes mains, celles-ci se tâchant rapidement de sang. J'ai pleuré et ai sans doutes aussi aggravée ma blessure mais elle était moins importante que la sienne. Je l'ai perdu cette nuit-là, et je savais que jamais je ne pourrais oublier ce que j'avais vécu. J'en gardais d'ailleurs une cicatrice sur la hanche, et dès cette nuit-là, je développais également une nouvelle phobie, celle du sang.  Lorsque je le voyais, je revoyais la mort et cela m'était insupportable. Alors, je décidais de prendre une décision « cruciale » ; j'arrêtai mes études et je retournai auprès de ma sœur. J'avais besoin d'elle et elle avait aussi besoin de moi, nous veillerions l'une sur l'autre... alors, en rentrant chez moi, je décidais de faire mes valises. Je ne pourrai rester ici plus longtemps, je devais quitter Paris. En l'espace de quelques jours, je parvenais à tout mettre en place pour partir, et avec ma sœur nous décidâmes de déménager à Taleville. Nous avons vécu à l'hôtel quelques temps avant de trouver un appartement pour y vivre toutes les deux.

Visiblement, elle avait cessé de faire des bêtises et avait gagné en maturité, et elle m'aida du mieux qu'elle put à faire mon deuil. La vérité, c'est qu'aujourd'hui encore, il m'arrive de songer à Jim, et au mariage que je n'aurai jamais. J'ai conservé mon alliance que j'ai attachée autour d'un collier que je porte toujours autour de mon cou, généralement sous mes vêtements. Je ne suis plus fiancée, alors je ne la porte plus au doigt. Cette « nouvelle » vie ici est cependant agréable. Isaac, Gael et moi sommes toujours ensemble, ce qui est une chance que je n'osais même pas imaginer avoir, et je vis avec ma petite sœur. Je travaille en tant qu'infirmière, car j'ai besoin de travailler et que je suis toujours dans cette optique d'aider à sauver des vies... j'aime à penser que je peux apporter un peu de joie et de gaieté aussi aux malades, et je me porte aussi comme bénévole pour aider les plus démunis qui logent ici. Je n'oublie pas ce qui m'est arrivée, mais je prend la vie en soi, comme une thérapie. Quelque part, je vois aussi comme un avantage le fait que seuls ma sœur, Isaac et Gael connaissent mon passé.

Ils m'ont tous les trois aidé et m'aident toujours d'ailleurs à ne pas sombrer et ils savent de toutes manières que je suis plutôt fragile à certains niveaux. De plus, il y a Allan, le frère aîné de Gael. Se trouve des fois, qu'il est déjà chez Gael et il m'arrive de le voir, mais il est assez difficile de lui adresser la parole ou d'attirer son attention. Il semble malheureux, c'est pour cette raison que Gael a demandé à Isaac de devenir son psychologue d'ailleurs. Mais je ne sais pas trop pourquoi, je m'y suis attachée. J'aimerai beaucoup lui parler et passer du temps avec lui aussi, mais j'ai l'impression que cela relèverait plus du miracle, d'avoir cette opportunité. Et j'aurai trop peur de l'importuner ou de paraître stupide à ses yeux... alors je garde mes distances, disons. Mais depuis que j'ai lu son livre, j'ai encore plus de mal. Je me suis rendue compte dans ses écrits que sa plume dégageait quelque chose de spécial, de sombre mais de très beau. La douleur peut nous faire faire de si jolies choses parfois, comme si elle avait le moyen de rendre ce qui est laid, merveilleux. Au fond, ce garçon me fascine un peu, mais je préfère ne pas trop en parler devant Gael, je crois qu'il n'aime pas ça. Mais là non plus, je ne comprend pas très bien pourquoi...

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Dernière édition par Roxane Heathcliff le Sam 18 Jan - 21:49, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 22:15

Asjklashjajnwjkngn.  :plush: :bwih: :koeur: :aw: :liove: Tu sais ce que je pense de Carey, mais pour le sport. :chica:



PFEHLALA. I love you Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 318591028 Bienvenue parmi nous en tout cas mamz'elle, et bonne chance pour ta fiche.  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 1629657061 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 100376953 
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 22:18

Bienvenue parmi nous (a) courage pour ta fichette ♥
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 22:53

Adam : sjgndghfndks I love you I love you Pour Carey oui, mais j'ai pas compris pour le sport ? Arrow et trop mignon pour le gif, tu es un amour I love you *va rougiiir*

Et merci encore mon tout beau I love you Je pense que je ferais l'histoire cette nuit (oui je suis fifou moi) ou demain (a)

Victoire : Merciii I love you et je ne l'ai pas dit dans la description donc je te le dis là : je t'aime aussi Victoire :') même si tu veux me rôtir avec les autres nouveaux...
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptyVen 17 Jan - 23:17

Bienvenue  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 779579948 ! Carey, très bon choix  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 1021326 !
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 8:04

Bienvenue encore une fois ! Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 779579948 Ravie que tu nous aies rejoints ! Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 550011198 Bon courage pour ta fichette, je te valide ton code (a)
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 12:31

Apollinaire : Merciii I love you oui Carey est juste sublime **

Harysta : Merciiii Very Happy Moi aussi je suis contente de vous avoir rejoint haha et merci aussi pour le code (a)
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 13:25

Bienvenue parmi nous Smile
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 14:29

Cette actrice, dans Gatsby.  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 303051583 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 303051583 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 303051583 elle est juste génial et si j'ai bien compris, t'as pris la jolie Jane ? Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 921007208 enfin bref, j'adore les choix, bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche demoiselle !
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 15:00

J'adore cette nana (a) Bienvenue ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 16:36

Bienvenue officiellement, notre petite Emily avec la magnifique subliminale dizafaif eabfefn dnadbzjbzefbejz eir orjgirznnd Carey  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 1244078592 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 864468691  Je t'ai réservé le scénario ma belle  Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 2145404489 Tu sais déjà ce que je pense du début de fiche, j'attendrai avec impatience la suite Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 2949384297 Ravie que tu sois des nôtres surceforumparfait, ça va être fuuun  rainbow
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Victoria Romanov

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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 20:33

Naëris : Merci beaucoup I love you

Nastasya : Merciii I love you I love you alors non j'ai pris Emily, du film les Noces Funèbres ! (scénario de Gael I love you) mais oui Carey est superbe dans Gatsby *-*

Parvati : Haha oui elle est gorgeous (a) Merciii Very Happy

Gael : Merci mon tout beau I love you Je suis vraiment contente de vous avoir rejoint aussi, je tente de vite finir les détails de ma fiche et j'attends ton feu vert vis-à-vis de l'histoire du coup, je pense qu'il doit y avoir quelques petites choses à modifier peut-être donc je te laisse voir Arrow
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 22:02

Pour moi c'est tout bon Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 864468691 Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 550011198 Les modifications à faire ont été vues par MP et du coup maintenant que c'est fait, staff adoré, vous avez mon feu vert, après il manque que l'avis de Ruben Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. 1244078592
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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. EmptySam 18 Jan - 23:04




Mes félicitations !


RAHLALA. Trop de dépression, de d4rkitude ultime en toi. :oh: Non je déconne, plus sérieusement, je pense que tu as bien cerné le personnage d'Emily, un doux mélange de mélancolie sans aller dans l'extrême Calimero. :plush: Ta plume arrive bien à faire passer son côté léger, et donc, j'aime beaucoup. :koeur: C'est avec bien du plaisir, que j'te valide mamz'elle.  :aw: 

Tu es validé ! Tu as passé avec brio l'étape de la fiche de présentation, tu vas maintenant pouvoir faire ce pour quoi tu es là : RP ! Et nous espérons que tu t'amuseras bien parmi nous

Dès à présent, tu peux faire quelques petites choses utiles : Tout d'abord, il va te falloir recenser ton avatar et ton personnage si tu ne veux pas qu'on te les pique ! Passe ensuite par les registres qui te concernent ! Pour te faire des amis, c'est par ici qu'il faut te rendre ; et si tu souhaites répertorier tes RP, c'est que ça se passe. Peut-être attends-tu des personnages pour avancer ? Si c'est le cas, tu peux créer des scénarios (sans en abuser) dans cette partie. N'oublies pas de remplir tous les champs de ton profil ainsi qu'y mettre les liens de tes différentes fiches, c'est toujours pratique !

Tu vas pouvoir avancer comme un grand à présent ! N'hésite pas à contacter le staff au moins souci, il est là pour toi


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MessageSujet: Re: Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real.   Yet the pain here that I feel, try and tell me it's not real. Empty

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